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vendredi, 22 avril 2005

Leçon n°8 : trouver un nouveau toit

n allant chez le coiffeur, j’ai pris tous les journaux de petites annonces immobilières que je trouvais sur mon chemin. Je peux vous assurer que ça fait un sacré paquet. Il aurait été étrange de ne pas trouver son bonheur.

Après deux heures d’épluchage intensif de propositions diverses et variées, j’ai trouvé quelque chose d’intéressant, une colocation sympathique à pourvoir, en plein Paris. Comme il ne coûte rien d’appeler, j’ai pris mon téléphone et j’ai composé le numéro indiqué. Bien m’en a pris, car mon interlocutrice, en plus de sembler très sympathique, m’a tout de suite proposé de visiter ses quatre murs.

J’y suis allée, j’ai examiné avec intérêt ce qu’elle proposait et j’ai signé. Voilà enfin une action efficace. Je m’installe dès demain. Ma nouvelle camarade se prénomme Michelle, elle est à peine plus âgée que moi et travaillant dans un bar, elle connaît bien le monde de la nuit et sera sûrement de bons conseils. Comment ça je suis quelqu’un d’intéressé ? Voyons, il faut savoir choisir ses amis…

Mes parents apprendront la bonne nouvelle grâce au petit mot que je leur laisserai en partant. En faisant mes valises, je me rends compte que je ferai mieux de tout laisser ici. Quand on change de vie, pas besoin de s’encombrer inutilement de vieux souvenirs. Mon passé, c’est l’orphelinat maintenant. De quoi aurais-je l’air si quelqu’un tombait sur la photo de mes parents ? Il s’agit d’être prudent.

Je ne sais pas combien de temps je resterai chez Michelle, probablement le temps de renflouer mon compte en banque et de trouver un chez-moi plus grand et plus personnel. En attendant, pas trop de caprices, même s’il aurait pu être bon de m’entraîner à jouer les divas, je dois poursuivre ma quête de la célébrité.

Demain, ma vie de future star commence vraiment.

Leçon n°7 : mettre en place son indépendance

e ne peux pas rester éternellement chez mes parents. Bien que je ne les voie quasiment jamais, je ne tiens pas à être une star qui vit chez Papa Maman. Et s’ils voyaient la nouvelle Stella, ils risqueraient de tout compromettre.

Et oui, j’ai oublié de mentionner le fait que mes parents ne vivent que pour leur très chère boutique. Les repas en famille, promenades du dimanche et autres petits bonheurs, voilà bien longtemps que je ne connais plus. Mes métamorphoses capillaires et vestimentaires n’ont donc pas encore été remarquées pour le moment.

Cependant, il faut que je parte. Et que je trouve une excuse. Ils m’ont toujours encouragée à mener ma vie et à voler de mes propres ailes. Et bien, vous allez être contents chers parents. C’est décidé, je vais m’installer à Paris. Vous saviez que l’université était une erreur d’orientation, alors je vais prétexter partir pour suivre une nouvelle filière. Pour ce que ça vous intéresse, j’aurai votre bénédiction sans peine.

Puisque je suis votre fille chérie et unique, il vous faudra payer mon futur loyer au début.  Je veux bien être une star totalement autonome, je n’ai pas plus d’argent qu’hier. En attendant de gagner ma vie, j’ai besoin de votre argent. Pas longtemps j’espère, je ne veux rien devoir à personne, sinon à moi-même.

Il va donc falloir trouver un petit studio pour me loger et un emploi pour payer mon loyer et mes futurs cours... Et une fois par mois, leur passer un rapide coup de téléphone pour ne pas les inquiéter. Ils me reverront peut-être un jour. Ou pas.

Leçon n°6 : donner l'image d'être quelqu'un de bien

e vous vois venir. Qui a dit que je n'étais pas déjà quelqu'un de bien ? Attention à vous, je pourrais vous coller un procès pour avoir des pensées si dégradantes.

Stella Strawberry est quelqu'un de bien, qu'on se le dise. Mais justement, si je ne le mentionne pas, qui le saura ? Il faut donc que je me trouve des activités qui mettront mon image de marque en valeur.

D'apparence, je suis plutôt "normale". Cela dit, qu'est-ce que la normalité ? Admettons que j'ai une allure sage, pas provocante pour un sou. Je ne ferai donc pas fuir les parents dont les enfants m'admireront. Etant donné qu’il faut viser un large public, je reste quand même attirante. Enfin, point trop n’en faut.

Ensuite, il me faut défendre certaines causes. Venant d'un pseudo orphelinat, il sera bien vu que je fasse des dons pour les enfants ayant perdu leurs parents. Je pourrais même faire du bénévolat tiens. Et la prochaine fois, j'éviterai de jeter mes vêtements à la poubelle. Je vais devenir l'ange gardien des orphelins. C'est bon pour mon image ça.

Quelles autres causes pourrais-je défendre ? Il semble qu'il soit bien vu d'être contre la fourrure. A la base, bien sûr, je suis contre, d’autant plus que je végétarienne. Mais je pourrais devenir une militante active. Je me vois déjà défiler en tête des manifestations, slogans accrocheurs et bannières à l’appui.

Il ne faut pas trop s'éparpiller non plus. Faire beaucoup de choses en même temps ne donne pas toujours de bons résultats. Et je veux tout faire au mieux. Au pire, je suis sûre que la célébrité m'apportera de nouvelles idées.

jeudi, 21 avril 2005

Leçon n°5 : faire le ménage dans ses relations

’ancienne Stella n’existe plus. Mais pour cela, il faut qu’elle perde toute relation avec sa vie passée. C’est nécessaire puisque je n’ai pas envie d’être dérangée dans ma quête de la célébrité.

La famille ? Mes parents ont réussi à se mettre toute la famille à dos avant ma naissance, donc personne ne me connaît et je ne connais personne. Tant mieux, ça fait toujours ça de moins au niveau connaissances encombrantes. Quant à mes parents, j’ai déjà une petite idée…

Les camarades de classe ? L’université, c’est tellement grand, que je ne suis qu’une anonyme parmi d’autres anonymes. J’ai probablement déjà dit « Bonjour » à un cinquantième des étudiants mais je ne pense pas qu’ils se rappellent de moi. Comme je l’ai déjà dit, Stella Strawberry était du genre banal, passe-partout et solitaire. Personne ne doit remarquer mon absence dans ces amphithéâtres blindés.

Les amis ? Là, ça devient peut-être compliqué. J’ai bien appartenu à des groupes de bons camarades, mais sans jamais m’imposer plus que ça. J’étais du genre effacé. Ces cercles sont dissous depuis un certain temps maintenant, je n’ai quasiment plus de nouvelles d’eux. Il faut peut-être préciser que ces derniers temps, je me suis à moitié coupée du monde. Je n’ai manqué à personne, alors je ne devrais pas trop m’inquiéter. Pourtant, les gens sont tellement intéressés, qu’ils pourraient me gêner. Des êtres que j’ai à peine croisés pourraient s’inventer des histoires abracadabrantes avec moi.

Nos voisins ou les clients de mes parents ne doivent pas être capables de me reconnaître maintenant, dans le cas où ils sauraient déjà qui je suis. Ma nouvelle coupe, ces immenses lunettes et la garde-robe estivale contrastent énormément avec l’étudiante que j’étais.

Il est donc plus qu’impératif de faire disparaître l’ancienne Stella sans éveiller les soupçons, et de refaire ma vie en étant quelqu’un d’autre. Mais pas n’importe qui, parce que je serai une star. Et mes nouveaux amis seront riches et célèbres.

Leçon n°4 : devenir une icône de la Mode

l va sans dire que je dois avoir une image irréprochable. Une star négligée ? Quelle horreur. Surtout parce que quand j’aurai ma photo dans tous les magazines, je veux qu’on admire mon style et mon élégance. Je veux marquer les esprits et devenir un modèle pour eux.

Faisons le point. Que propose ma garde-robe actuelle d’étudiante ? Pantalons noirs plutôt stricts, pulls banals tendance informes et chaussures de ville plates. Hum… Poubelle.

L’ancienne Stella était passe-partout. C’est fini tout ça. J’ai un physique à mettre en valeur, et une classe à acquérir. Et qu’est-ce que ça veut dire ? Faire 30 minutes de course tous les matins. Je m’imagine déjà avec mes joggings à la mode et ma bouteille d’eau dans les journaux. Enfin, on n’y est pas encore tout à fait. Je ne suis même pas certaine de savoir courir 10 minutes sans frôler la crise cardiaque. Mais c’est comme tout, il faut s’entraîner. Tout le monde connaît le proverbe, souffrir pour être belle. Enfin, surtout pour le rester je trouve.

Quel dommage que mon portefeuille ne soit pas très fourni. Dès que j’aurai assez économisé, je dévaliserai les boutiques chics. En attendant, il faut quand même bien remplacer les horreurs qui ont atterri dans ma poubelle. Zut, j’ai manqué une occasion de m’entraîner à jouer les bonnes âmes. J’aurais dû réfléchir un peu, maintenant c’est trop tard. Quel gâchis.

J’ai défini mon nouveau look en fonction de l’image que je veux donner. Je n’ai pas envie de copier une mode existante. Je refuse d’être une simple copie, parce que les vraies stars font les tendances. Donc je vais créer LE style Stella Strawberry. Je n’aime de toute façon pas faire comme tout le monde. Mais si le monde fait comme moi, aucun problème, avouez que c’est terriblement flatteur.

Pour masquer toujours plus mes traits afin de ne pas être reconnue, j’ai opté pour un bonnet/béret en laine. Des tons pastel pourraient rendre pas mal avec ça. Le plus simple pour me mettre en valeur, c’est une robe je crois. Une tenue d’été mi-longue plutôt vaporeuse. Une veste en jean. Et de grandes bottes en cuir. Bon d’accord, j’avoue que ce n’est pas très novateur. Mais vous auriez les mêmes moyens que moi, vous rigoleriez moins. Et puis, je m’en moque, moi ça me plaît.

Pendant que j’y pense, quel créateur vais-je pouvoir choisir plus tard ? Quoi ? Comment ça, j’ai encore le temps d’y penser ? Rabats-joie.

Leçon n°3 : se rendre méconnaissable

a chirurgie esthétique fait des miracles aujourd'hui. D'ailleurs, les stars le savent parfaitement puisqu'elles en usent et abusent afin de camoufler leurs défauts et d'accroître leurs atouts. J'y ai beaucoup pensé, parce qu'à mon avis, c'est quand même la solution la plus efficace pour changer de tête !

Mais voilà, Stella Strawberry est fauchée ! Pas un sou, ou presque. Oublions la médecine donc, on trouvera bien moyen d'y revenir quand la richesse fera partie intégrante de ma vie.

Il faut impérativement que je ne sois pas reconnue par les parasites de ma vie passée. Parce que je suis quelqu'un de prévoyant, voyez-vous. Imaginez qu'ils se disent : "Oh, mais c'est Stella ! Elle est célèbre maintenant, c'est une star. On va en profiter, puisqu'on la connaît." Non, non, non, je refuse ! La star, c'est moi, mon succès je ne le dois qu’à moi-même. L'ancienne Stella ne doit plus exister que dans leurs souvenirs, pour peu qu’ils en aient. La nouvelle est une inconnue encore, on ne sait pas grand-chose d'elle, à part une enfance malheureuse et une volonté de fer de se battre. Voilà un résumé clair et succinct qui sied parfaitement à ma personne.

J’ai donc eu une idée géniale. Pourquoi modifier les traits de mon visage ? Je peux simplement couvrir le haut de mon visage par d’immenses lunettes. Un regard de mouche, je trouve ça plutôt classe, et c’est parfaitement indissociable de la vie des stars. Quand les paparazzis me poursuivront, mes magnifiques yeux seront protégés des flashs. Quoique, de toute façon, mes yeux, plus personne ne les verra. Dès aujourd’hui, c’est décidé, je ne quitte plus mes étranges binocles. Je serai mondialement connue grâce à ce signe particulier. On voudra me copier, mais personne ne portera jamais « mes » lunettes avec autant de grâce.

Parfois, je m’admire vraiment. Pas la peine de dépenser des sommes astronomiques pour changer de tête, quand un simple accessoire suffit. Et il me va comme un gant.

Mais, ce n’est pas tout. Mes cheveux ne ressemblent plus à rien. Je vais prendre rendez-vous chez un coiffeur, les couper un peu, me faire une belle coupe dans le vent et teindre le tout afin d’obtenir une couleur un peu plus uniforme que l’actuelle. Je tenais à ma blondeur naturelle, mais un châtain clair m’ira très bien. C’est moins agressif et ça renforce le changement.

Ensuite, il me faudra maquiller un peu le reste du visage. Et trouver un rouge à lèvres qui marque le visage, afin que mes traits soient encore moins perceptibles.

Il est temps désormais d’évaluer ma garde-robe, histoire de ne pas gâcher l’effet produit par ma nouvelle tête avec des vêtements immondes.

mercredi, 20 avril 2005

Leçon n°2 : rendre son enfance attendrissante

es stars ont toujours des enfances malheureuses. Il se peut que j’exagère légèrement, mais ça fonctionne plutôt bien cet aspect "revanche sur la vie". Alors, c’est décidé, moi aussi, j’aurai eu une enfance à provoquer la pitié.

Pour ceci, en toute logique, il me faut une famille. Mes parents tiennent une pharmacie depuis des années. Devant une telle banalité, j’ai pour idée que ce n’est pas très bon pour mon image, un tel manque de glamour. Mes géniteurs sont très sympathiques mais ils ne m’aident pas avec pareils métiers. Je n’ai strictement rien contre eux, je les respecte mais l’originalité leur fait affreusement défaut.

Il va falloir que je les supprime. Oh, n’ayez pas l’esprit si tordu, je vous prie. Je n’ai nullement l’intention de mettre fin à leurs jours. Il me semble plus intéressant de m’en inventer d’autres. Ceux-ci auraient péri, tragiquement, dans un accident de voiture alors que je n’avais que deux ans. Catastrophe autoroutière ? Vu et revu. Il faut innover. Drame sur les pistes de ski ? Oui pas mal, une avalanche les aurait ensevelis alors qu’ils cherchaient à escalader l’Everest. Enfin, peut-être pas jusque là non plus. Bref, on n’a pas besoin de donner tant de détails, ça pourrait rendre les gens trop curieux. Mais vendu pour l’accident de ski. Pauvres parents.

Résultat des courses ? J’ai été placée dans un orphelinat, car élevée par une vieille tante ou une riche grand-mère, c’est presque ordinaire. Petite fille effacée et timide, j’ai grandi dans l’ombre. Je n’avais pas d’amis, pas de famille et pas de vrai toit. En continuant dans ce sens, je vais me faire pleurer.

Lectrice assidue, j’ai puisé dans les livres la force de me battre contre la fatalité qui pesait sur ma vie. Ceci est un bon point pour montrer que je suis cultivée, que je ne suis pas une blonde au QI d’huître. Une fois le cap de la majorité passée, je me suis enfuie de l’orphelinat et j’ai enchaîné les petits boulots à Paris. Ce fut une renaissance.

Et me voilà prête aujourd’hui, malgré toutes les épreuves tragiques que j’ai endurées, à tout faire pour devenir une star. Tout faire ? Ça reste quand même à méditer !

Je suis assez fière de moi, ça me semble plutôt larmoyant, mais pas trop non plus, je ne voudrais pas devoir mon succès à mon enfance, surtout si elle est fictive ! Il me faut maintenant mettre en place la nouvelle Stella, afin de ne pas être trahie par d’anciennes connaissances. Ça serait quand même bien dommage. La prochaine étape m’amène donc au relookage.

Leçon n°1 : faire l'état des lieux

1d1f5a7d4b34d6db262b6b44ea1a43ca.jpgl est bien beau de vouloir devenir une star, mais ce n’est malheureusement pas le genre de choses qui se fait en un seul jour. Devant la pertinence de ma remarque, je suis rassurée sur le fait d’avoir encore toute ma raison et d’être apte à me lancer dans ma quête.

Cela dit, avant d’aller plus loin, il serait peut-être de bon ton d’étudier mon profil. Après tout, celui-ci n’est pas forcément compatible avec ce que je souhaite devenir, auquel cas, je ne tiens pas à jouer les téméraires en vain. Je me nomme Stella Strawberry, je suis âgée de vingt ans et depuis toujours, je vis et étudie en région parisienne. C’est une base plutôt honnête. Poursuivons avec le physique. Dans ce milieu, à mon grand désespoir, il faut bien sûr compter sur ce point. Une tendance nordique me présente comme une blonde aux yeux bleus, plutôt banale mais fièrement loin du cliché de la bimbo écervelée.  Une certaine myopie m’oblige à porter de discrètes lunettes. Il n’y a donc rien de bien formidable de ce côté-là.

Qu’en est-il de mon bagage professionnel ? Je suis la bienheureuse titulaire d’un Bac Scientifique spécialité physique chimie. Nul doute que ce détail me sera d’un grand renfort pour la suite… Plus concrètement, j’ai supporté tout un été un emploi de serveuse dans un centre de vacances, à priori méconnu de la quasi-totalité de l’espèce humaine. Dois-je commencer à m’inquiéter ? Il me semble en effet évident que je ne pourrais peut-être pas non plus compter là-dessus.

Mais que sais-je faire alors ? Rien ? Impossible de me résoudre à abandonner avant d’avoir commencé. Je suis sûre de ne pas être une incapable finie. Je pense trop pour ça. Je dois bien avoir quelques aptitudes cachées au fin fond de ma petite cervelle. Tiens, j’ai peut-être trouvé… Je sais faire des pâtes, mangeables je précise, mais étrangement, je doute de l’utilité de cette information. Quoique. Aujourd’hui, les stars ne sont pas très portées « cuisine », il se peut donc qu’il y ait un créneau à prendre. Je peux devenir une célébrité qui maîtrise parfaitement la cuisson des pâtes. Formidable…

C’est vraiment incroyable, je ne trouve rien de plus. C’est inconcevable, mon monde s’effondre. Mince. Cherchons encore. Chanter ? Hum, personne ne m’ayant encore entendue pousser la chansonnette, j’ai peur d’une éventuelle tendance casserole, voyez-vous. Danser ? Je crains de n’être très douée non plus. Jouer de la musique ? Et bien, si ma guitare ne s’était pas étrangement fendue, j’aurais pu apprendre à en tirer quelque chose et ainsi devenir le nouveau génie de l’instrument. Vraiment, la chance n’a pas été avec moi. Foutue guitare.

Conclusion, ou j’apprends très vite quelque chose, ou je vais être obligée de m’inventer des capacités. Mais bien sûr, qui irait vérifier ? Sacré dilemme quand on est conscient qu’il n’est guère judicieux d’ambitionner un statut de star quand on ne sait pas faire grand-chose. La solution serait ailleurs ? Ce que je suis n’empêche pas quelques modifications pour enjoliver l’ensemble et le rendre un peu plus attrayant.